Dans un petit volume intitulé Coutumier qui consigne les différentes façons d’agir dans la Congrégation, on retrouve un chapitre qui traite du rôle de la jardinière et de la pertinence de réserver un espace pour la pharmacienne.
La jardinière […] cultivera le jardin avec plus d’intelligence [pour] en retirer plus de profit. Elle tiendra le jardin dans le meilleur ordre possible, pour que les sœurs puissent y aller se délasser agréablement.
[… De plus], un espace dans le jardin est réservé pour la pharmacienne ; […] elle cultivera un petit jardin pour se procurer les herbes et les plantes qui entrent dans la composition des remèdes. »[1]